Bien-être : quand la sieste au bureau devient tendance
28/12/2022 à 17:07
Ce regain d’énergie qui profite à tous
Irritabilité, stress, difficultés à se concentrer, productivité en berne… La fatigue au travail n’est une bonne nouvelle pour personne. Quand le coup de barre frappe à la porte, votre corps se fiche de savoir que vous avez ce dossier urgent à rendre. Une sieste flash, ou micro sieste, suffirait à vous faire atteindre une phase de somnolence et de sommeil léger. En moins de 10 minutes, les muscles se relâchent, le rythme cardiaque et la respiration baissent. Le corps se repose et le regain énergétique peut correspondre à 15 fois la durée de la sieste !Au-delà de ces 10 minutes, les phases du sommeil sont plus profondes et le retour à la (dure) réalité est plus compliqué pour le corps. Au bureau, on préfère donc s’accorder une sieste flash après la pause déjeuner pour booster son énergie et se remettre au travail dans la joie et la bonne humeur.
La réponse à une vraie problématique de santé publique
En matière de santé au travail, les chiffres ne sont pas très bons. Selon les dernières études, les arrêts maladie se multiplient. En cause ? Les troubles chroniques et le stress provoqués par un environnement de travail inadapté et une pression quotidienne. Grâce à ses nombreuses vertus apaisantes et énergisantes, le « bon » sommeil améliore le quotidien et protège la santé. À la maison ou au travail, les siestes sont donc un vrai bonus !
À quoi ressemble un « coin à siestes » en entreprise ?
Si les bars à siestes ne cessent de se multiplier dans les centres-villes animés, il est encore plus pratique et pertinent d’installer un coin sommeil au sein même des entreprises. Pendant une pause, les salariés vont s’isoler dans cet endroit calme et faire un somme entre deux rendez-vous. Les « coins à siestes » déjà existants sont des pièces isolées du bruit ambiant. La lumière est tamisée et les salariés peuvent s’installer sur des transats, de grands poufs ou des canapés en écoutant éventuellement une musique relaxante.